Le 3e réseau diplomatique au monde
Le réseau diplomatique français est le 3e au monde, avec 163 ambassades au service des relations bilatérales et 16 représentations permanentes auprès des instances multilatérales (Union européenne, Nations unies, OCDE, UNESCO, OTAN).
Une diplomatie au service des entreprises
Le ministère français des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) et son réseau diplomatique mènent une politique active de soutien aux entreprises françaises sur les marchés extérieurs et d’accompagnement des entreprises étrangères qui souhaitent investir en France.
Au-delà des grands contrats, les actions diplomatiques sont renforcées en direction des PME et des filières comme l’agroalimentaire, la santé ou l’économie verte. Une volonté illustrée par la mise en œuvre du plan gouvernemental de soutien à l’exportation qui vise à assurer un meilleur couplage de l’offre française avec la demande des marchés porteur.
Une diplomatie au service de l’innovation
Le MAEDI met son réseau de coopération au service de la R&D et de l’innovation des entreprises internationales. Par exemple, l’ambassade de France aux États-Unis organise chaque année, avec Georgia Tech, les rencontres de l’innovation : France-Atlanta 2013 a rassemblé 4 700 participants.
Les projets de coopération technologique se multiplient. En témoignent le programme COOLPOL, un partenariat franco-chinois de R&D, ou le fonds d’investissement franco-mexicain dans l’aéronautique (250 millions de dollars).
Une diplomatie au service de la paix et du développement durable
En constante adaptation aux réalités internationales, la diplomatie française agit pour la paix et pour un développement durable et équilibré dans le cadre de la mondialisation. Elle promeut les droits de l’homme, s’engage pour la paix et la sécurité, œuvre en faveur d’un développement économique respectueux de l’environnement.
À travers les 163 services de coopération et d’action culturelle (SCAC) et les 70 agences de l’Agence française de développement (AFD), la France est le 4e contributeur d’aide au développement en volume (près de 10 milliards d’euros par an) et le deuxième en pourcentage du revenu national (RNB).
Elle est enfin le deuxième contributeur au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.